Le poids lourd ukrainien a parlé de l'entraînement avec Zhilei

"Lorsque nous avons commencé à travailler avec lui de cette manière, il s'est avéré qu'il manquait à la fois les jabs et les coups de pied au corps. Cette tactique a si bien fonctionné que vers la fin du deuxième round, nous avons commencé à prendre l'initiative. Après cela, tout le camp de Zhilei voulait surtout travailler avec moi. Parce que je lui donnais le maximum de travail. C'est un bon boxeur. C'est un boxeur qui donne des coups de poing. C'est un bon contreur. Mais il contre quand vous faites des erreurs. Zhilei se fatigue un peu au bout de quatre à six rounds. Mais, encore une fois, il n'est fatigué que si vous le frappez. On ne peut pas le "caresser". S'il sent les coups, il commencera à se fatiguer petit à petit et à rater ses coups. C'est à peu près comme ça que ça marche. En fait, nous avons eu un travail mutuellement très serré - nous avons tous les deux frappé, nous avons tous les deux raté. Mais je me suis aussi entraîné avec ceux qui frappaient plus fort.