Le premier test positif à l'Ostarine a incité l'Agence Volontaire Antidopage (VADA) à se pencher sur la question des substances interdites depuis 2008. Le journaliste sportif Dan Rafael a révélé sur X que des tests supplémentaires ont prouvé que Garcia était exempt de 19-Norandrostérone, déclarant : "L'échantillon d'urine que @RyanGarcia a fourni le 19 avril et qui était positif à l'Ostarine mais qui montrait également un PED interdit, la 19-Norandrostérone, nécessitait des tests supplémentaires pour le confirmer. C'est chose faite. Selon le rapport du laboratoire envoyé à la VADA, que j'ai obtenu, le test n'a pas été confirmé. Il n'y a pas eu d'échec du troisième test.
En réponse à ces développements, Garcia s'est rendu sur les médias sociaux pour se défendre. Il a minimisé les effets des niveaux d'Ostarine détectés et a critiqué le traitement de son cas, en disant : "Vous réalisez tous que je n'ai pas échoué aux tests maintenant. Aucune substance autre que cette substance imaginaire d'autruche... à un niveau aussi bas n'aurait eu d'effet. ILS ONT ESSAYÉ, MAIS AUCUN MENSONGE NE TIENT, DIEU SOIT LOUÉ".
Lors d'un épisode du podcast Fully Tilted, Ryan a franchement parlé de sa condition physique pendant le combat et a nié que les stéroïdes aient eu un effet bénéfique sur ses performances. Il a avoué avoir consommé de l'alcool et de la marijuana jusqu'au jour du combat : "Cela ne vous donne même pas un avantage. Quel avantage cela vous donne-t-il ? Les stéroïdes ne vont pas vous aider à améliorer vos compétences ou votre synchronisation. Si j'avais pris des stéroïdes, j'aurais été en bien meilleure forme", a expliqué Garcia. "Je buvais littéralement tous les jours, je fumais de l'herbe - je n'ai pas arrêté, pas même jusqu'au jour du combat. Je suis entré là-dedans défoncé, et je lui ai botté le cul".