"Je ne le tuerais pas, mais je l'étranglerais jusqu'à ce qu'il s'évanouisse". Khabib évoque le combat contre McGregor

"Non, je ne lâcherais pas. Parce que c'est le moment où vous êtes au maximum, où votre état émotionnel atteint un sommet, un plafond, pourrait-on dire. Et tout est juste. Je pense que lui et moi, nous savions ce que nous voulions, ce n'est pas seulement quand vous rencontrez quelqu'un dans la rue et que vous commencez à l'étouffer. Il s'agit de l'un des meilleurs combattants au monde. Six mois à l'avance, nous avons été programmés pour un combat et nous sommes allés voir qui était le meilleur. Bien sûr, ce n'est pas un combat à mort. L'aurais-je tué ? Je ne crois pas. Je ne pense pas que je l'aurais tué, mais il était inconscient, c'est certain. Nous ne saurons jamais si j'aurais contrôlé ce moment. Quant à savoir jusqu'où je l'aurais maintenu, c'est une bonne question. Je n'en sais rien.